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Madagascar 2019

June 24, 2019

Madagascar est une destination qui fait rêver et pourtant il y a aussi des connotations parfois compliquées avec les problèmes sanitaires, problèmes de maladies : paludisme, rage, bilharziose et autres parasites, problèmes d'insécurité, problèmes de pauvreté.

il n'empêche que les retours des personnes étant allées à Madagascar sont souvent très positifs avec la découverte d'une île incroyable c'est ce qui nous a fait nous décider au fond d'aller faire un road trip toujours avec “Photographes du Monde” et avec un photographe exceptionnel Lionel Montico qui y était pour sa septième fois et qui essaie de découvrir de nouveaux circuits.

Nous avons fait un circuit qui est relativement classique mais qui nous a permis de voir la diversité absolue des paysages et la rencontre des Malgaches essentiellement dans les petits villages.

Donc en partant de la capitale où nous ne sommes pas spécialement restés, de la forêt primaire à l'est jusqu'à la côte et au canal du Mozambique à l'ouest en passant par la descente de la rivière Tsiribihina, par les baobabs et les Tsingy, ce dont je vais vous raconter dans la suite de la page.

Nous voilà partis au mois de mai donc au début de l'hiver et le début de la saison sèche et la fin de la saison humide, comme souvent dans ces pays tropicaux selon la saison, les paysages apparaissent totalement différents .

La capitale, Antananarivo ou Tananarive est une ville où il y a beaucoup de circulation, hélas réputée pour la délinquance la nuit et où il faut mieux ne pas se promener seul en tout cas , c'est à la fin de notre périple que nous retournerons dans la capitale en allant assister à cette messe dominicale incroyable du Père Pedro mais ce sera pour la fin.

Madagascar, en forme longue la république de Madagascar, est un État insulaire d'Afrique constitué d'une grande île de l'océan Indien que le canal de Mozambique sépare du reste du continent. C’est la cinquième plus grande île du monde après l'Australie, le Groenland, la Nouvelle-Guinée et Bornéo. Longue de 1 580 km et large de 580 km.

Durant la majeure partie du XIXe siècle, l'île est administrée par le Royaume de Madagascar, cette administration s'exerce dans le cadre du protectorat français de Madagascar après 1883, à la suite de la première expédition de Madagascar. Le protectorat étant peu appliqué par le gouvernement malgache, la France organise une deuxième expédition militaire à partir de 1895. Les troubles consécutifs à l'intervention militaire française conduiront, en 1897, à la fin de l'autonomie malgache, à l'annexion de l'île par la France et à la réunion de l'ancien protectorat et d'autres territoires français au sein de la colonie de Madagascar et dépendances. Le premier gouvernement autonome malgache revoit le jour le 10 octobre 1958 lorsque la république de Madagascar est proclamée sur le territoire de l'ancien protectorat. En 1960, la République de Madagascar accède à l'indépendance, ce qui fait du pays un des premiers à devenir indépendant dans cette zone de l'océan Indien.

Durant vingt siècles, Madagascar a été façonnée par des peuples venant d'horizons divers : Afrique, Sud-Est asiatique (Indonésie), Proche-Orient, Europe… pour créer la société pluriculturelle malgache actuelle. Ce pays de plus de 24 millions d’habitants est très diversifié sur le plan culturel et compte 18 ethnies distinctes.

Madagascar appartient au groupe des pays les moins avancés selon l’ONU.

Famine et paludisme, deux menaces en suspens

  • Famines, épidémies : les grands fléaux qui déciment certaines autres régions d'Afrique ne frappent pas Madagascar avec la même fréquence ni la même ampleur catastrophiques. Mais l'équilibre y reste précaire. Si la pluie tant attendue au début de l'été ne tombe pas, les maigres réserves sont vite épuisées. Le sud est toujours la région la plus menacée par la sécheresse.

  • Autre mal endémique : le paludisme. On parle d'une recrudescence alarmante de la maladie et on en attribue la cause à une résistance des plasmodiums

  • Syphilis : forte prévalence des infections sexuellement transmissibles classiques : 1 femme enceinte sur 20 et 1 professionnelle du sexe sur 7 sont positives à la syphilis.

  • Peste : maladie endémique, le pays abrite quelques foyers de peste qui apparaissent chaque année autour de la saison des pluies. Madagascar est l'un des pays les plus touchés par cette maladie dans le monde.

  • Cysticercose : Prévalence de la cysticercose active pouvait estimée en 2003 à environ 10 %, qui plaçait donc Madagascar parmi les pays les plus touchés dans le monde.

  • la lèpre a touché longtemps une grande partie de la population

  • Espérance de vie des hommes : 63 ans (en 2009)

  • Espérance de vie des femmes : 67 ans (en 2009)

Religion : Environ 40 % des Malgaches sont chrétiens (divisés presque également entre protestants et catholiques) et près de 50 % pratiquent toujours la religion traditionnelle, qui tend à souligner les liens entre les vivants et les morts.

Transports : Madagascar dispose de 836 km de voies ferrées et d'environ 49 250 km de routes dont 1 724 km goudronnées.

Cartes : Notre parcours, nos points d’intérêts, notre descente de la rivière :

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Voila 1ère vidéo , celle qui se veut “esthétique” , pour montrer quelques magnifiques spots de ce pays.

2ème vidéo :

Après la 1ère vidéo de Madagascar, version "esthétique" , voici une vidéo un peu plus longue pour montrer d'autres aspects de l'ile et de ce que nous avons rencontré.Les habitats , les enfants .. bref un peu plus de vues de cette magnifique ile .

L'isolement biogéographique de Madagascar, la variété des climats et des reliefs ont favorisé le développement d'une faune et flore unique au monde, en partie endémique.Cette biodiversité est cependant très fragilisée par le développement de l'agriculture et par la déforestation en partie illégale. Les Malgaches pratiquent de façon intense la culture sur brûlis.

La déforestation à Madagascar est considérée comme une des plus préoccupantes du monde tropical.

Le territoire malgache est à 20 % recouvert de forêt, ce qui représente 13 millions d'hectares. Entre 50 000 et 100 000 hectares de forêts sont détruits chaque année ce qui pose d'importants problèmes d'érosion des sols et de perte de biodiversité. 75 % des espèces végétales d'origine ont disparu.

Les causes de la déforestation sont la pauvreté des populations qui défrichent le plus souvent illégalement des parcelles de forêt pour la culture (technique de l'abatis-brûlis, appelé « hatsake »), ainsi que la production de charbon de bois pour la cuisson. La problématique essentielle est l'irréversibilité de la déforestation, constatée sur les friches mises en culture puis abandonnées à cause de la baisse progressive des rendements.

Nos premières découvertes se fera en traversant de nombreuses rizières

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La route sera au début goudronnée sur la Nationale 7 puis la Nationale 2, ce sera plus rude par la suite pour les pistes avec 90 km en 4 heures !!

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Nous traverserons des villages ou des mini bourgades avec toujours beaucoup d’activité au bord des rues et des routes , étalages de fruit , viande , …. riz qui sèche sur la route , des zébus tirant des charrettes et ce qui est le plus frappant , toutes ces personnes marchant les long des routes pour amener des produits à vendre aux marchés, portant sur la tête de lourds fardeaux , marchant souvent pieds nus , et tous ces enfants qui rejoignent leurs écoles ( pour ceux qui vont à l’école) , sur des kilomètres , aussi pieds nus !!

On voit le linge étalé sur les bords des routes pour sécher.

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Puis nous allons descendre la rivière Tsiribihina de Miandrivazo à Belon’i Tsiribihina avec 2 nuits en tente au bord de la rivière. Avec quelques crocodiles du Nil en bonus.

La rivière “rouge” liée à la couleur de la terre colorée.Très bon moment, et découverte de villages de cases, pas d’eau , pas d’électricité , marché alimentaire ( riz, céréales, cacahuètes, viande (zébu) , une école.et beaucoup d’enfants (6 enfants par femme !) .

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Puis quelques heures de voitures en convoi escorté par des militaires pour rejoindre la région des Tsingy avec traversée à la nuit de la rivière par un bac et s’installer à l’hôtel Orchidée.Point de départ de la descente en pirogue et pour rejoindre aussi les petites Tsingy et les Tsingy de Bemaraha.

Le terme tsingy désigne en malgache un type de forme topographique visible dans plusieurs régions de Madagascar. Il a également donné son nom à une aire protégée de Madagascar : les Tsingy de Bemaraha. Un tsingy est un bloc de roche carbonatée effilé, voire aiguë, parfois haut de plus de 60 mètres, un pinacle, résultat d'un phénomène de dissolution et de guillochage ; il peut également s'appliquer à un ensemble de ces blocs séparés par de longs et profonds couloirs.Tandis que les pluies de mousson ciselaient le sommet d'un vaste dépôt calcaire, la nappe phréatique dissolvait la roche le long d'un réseau de lignes de fracture. Lorsque la voûte des cavités s'effondra et que la nappe s'abaissa, un labyrinthe de canyons avec lapiés tranchants émergea. Tsingy vient du verbe malgache mitsingitsingy qui signifie « marcher sur la pointe des pieds » car on ne peut y marcher normalement pieds nus, les roches étant trop tranchantes.

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Et pour nous et pour moi surtout, un vrai effort physique en plein soleil avec escalade comme une via ferrata pour atteindre certaines plates formes à 70 mètres de haut.

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On va alors atteindre le canal du Mozambique et Belo sur mer, toujours par des pistes très chaotiques.On va découvrir les villages de pêcheurs, l’eau turquoise mais qui contraste avec cette activité à risque pour ces pêcheurs au filet mais aussi qui plongent avec fusil avec les complications liées à la pression .Autour de Belo, se pratique la pêche au large (à l’extérieur de la baie), la pêche près des zones rocheuses (à la ligne ou à la chasse sous-marine), la pêche au filet en bord de côte et la pêche à pied à marée basse.
La pêche au large ou dans les zones rocheuses vise les gros poissons et crustacés, dont les espèces varient selon la saison, et la pêche au filet en bord de côte cible les « peixinos » petits poissons ou alevins, et la pêche à pied certains crustacés.

Sur leurs pirogues à balanciers avec leurs voiles trapézoïdales, partant selon la marée et revenant au soleil couchant avec leur pèche incroyables (raie, espadon, thon, barracudas ..)

D’un autre côté, dans ces régions côtières l’agriculture ne permet pas toujours un apport protéique suffisant : on y cultive principalement du manioc, agrémenté dans une moindre mesure de haricots, d’arachides et de maïs et d’un tout petit peu d’élevage vivrier (chèvres, poules, canards et très peu de cochons, vaches ou moutons).
Ainsi, le poisson est essentiel pour l’alimentation de ces populations en croissance rapide. La demande est importante, que ce soit dans les villages ou à la ville. La demande urbaine a d’ailleurs un impact sur le coût du poisson dans les villages côtiers .

Les moyens de pêche restent artisanaux et non motorisés, à partir d’embarcations de tailles variables très majoritairement en bois : depuis les pirogues monoxyles d’une personne (avec ou sans balanciers), jusqu’aux grandes barques à voiles latines pouvant transporter 10 à 15 personnes. La fabrication des bateaux se fait avec le bois local par des charpentiers munis également d’outils artisanaux. Les voiles sont constituées de grands draps ou grandes bâches plastiques. Les grands filets ont des mailles assez larges, mais les petits filets emmenés avec les petites pirogues sont souvent des moustiquaires qui ne laissent aucune chance aux petits alevins.

Ce n’est pas la pêche artisanale qui impacte actuellement les ressources halieutiques malgaches – à l’exception de quelques espèces prisées des asiatiques – mais bien la pêche industrielle non contrôlée dans l’espace maritime malgache.

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On est pas mal logé quand même au bord de ce magnifique site

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Nous voila reparti pour la découverte d’un arbre emblématique : le Baobab, il en a plusieurs espèces, mais avec son aspect unique. Pas de feuilles lors de notre passage car début d’hiver.Ils restent magiques à observer.

L’allée des baobabs ou avenue des baobabs est un groupe de baobabs qui bordent la route de terre entre Morondava et Belon'i Tsiribihina dans la région de Menabe dans l'ouest de Madagascar. C'est une zone protégée depuis 2007.Une douzaine d'arbres de 30 mètres de hauteur bordent cette avenue, de l'espèce Adansonia grandidieri, endémique de Madagascar. Les baobabs, vieux de plus de 800 ans, connus localement sous le nom de renala (malgache pour « mère de la forêt »), sont un héritage des forêts tropicales denses qui ont prospéré à Madagascar.

Les baobabs sont des arbres tropicaux adaptés à la survie des environnements possédant une saison humide très pluvieuse et une saison sèche très aride : ils perdent leurs feuilles en saison sèche et stockent de grandes quantités d'eau dans leur tronc, qui prend souvent une allure de bouteille voire dans certains cas de ballon de baudruche. Ils atteignent en moyenne une trentaine de mètres de haut (parfois 40 m) et environ 7 m de diamètre de tronc, mais parfois plus de 10 m.

Le bois des baobabs, spongieux et friable, n'a quasiment aucune utilité (les marins ont parfois fait de mauvais cordages de remplacements à partir de l'écorce), ce qui a permis à de nombreux individus de traverser les siècles sans être trop inquiétés par l'exploitation humaine - les fruits (et parfois les feuilles) sont en revanche consommés par de nombreuses populations. Leur taille imposante et leur longévité leur ont valu d'être considérés dans plusieurs cultures comme des arbres sacrés.

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Et tous ces enfants, si nombreux et si joyeux malgré la pauvreté.Compliqué d’être détaché en étant le “vasa” , le touriste qui vient visiter le pays avec un tel décalage avec notre niveau de vie occidental.D’où le nombre d’organisations humanitaires qui travaillent beaucoup dans ce pays .

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Avant le retour à la capitale, une marche dans la forêt primaire, à l’est de Tana.Dans la région de l’Est de Madagascar, environ 5500 espèces de plantes vasculaires ont été recensées, parmi lesquelles 4500 sont endémiques.

découverte d’un caméléon Fucifer Pardalis, dans la forêt.

La forêt orientale, qualifiée de vierge présente une densité et une diversité qui aujourd’hui encore demeurent impressionnantes. Les espèces de végétaux et notamment d’arbres sont très nombreuses. Chacun lutte pour la quête de la lumière et les arbres lancent leurs hauts troncs majestueux vers le ciel, vers la lumière source de vie. Le sous-bois présente essentiellement des espèces parasites telles que lianes et fougères arborescentes qui s’accrochent et s’enroulent autour des troncs et des branches des géants de la forêt.

Le Sifaka à tête blanche et face noire, Ce sont de grands lémuriens diurnes, au pelage dense variant du blanc pur au noir profond en fonction des espèces, et dotés d'une queue plus longue que leur corps. Comme tous les lémuriens, ils sont endémiques de l'île de Madagascar. photo 2 et 3. avec un cri strident (dans vidéo 2). Sévèrement menacés par la destruction de leur habitat.Ils vivent en groupes paritaires d'une dizaine d'individus et communiquent au moyen de signaux vocaux, visuels et olfactifs. Les femelles donnent naissance à un seul petit par année, qu'elles transportent pendant près de six mois sur leur ventre, puis sur leur dos.

Le plus étonnant lémurien au monde, l’indri-indri, dont la protection est assurée par la Réserve Spéciale. Véritable peluche vivante de 80 centimètres de haut, avec ses deux grands yeux ronds et son pelage noir et blanc, l’indri vit essentiellement dans les arbres et se nourrit de leurs feuilles. Venez écouter les longs cris qu’il pousse pour marquer sa présence et son territoire ! photo 12 13 et son bébé photo suivante ..

Les makis catta sont reconnaissables à leur queue rayée de noirs et blancs. L'animal mesure environ 40 centimètres et pèse 3 à 4 kg. photo 11

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Bébé du lémurien Indri Indri

Retour à Antananarivo, et la surprenante découverte de la messe du Père Pedro, (à voir dans la 2ème vidéo qui est à venir), colorée et musicale.

Ce missionnaire est venu en aide à 400 000 malgaches et a fait construire plus de 2 500 maisons sur le territoire du séminaire catholique de Tananarive, à Madagascar, en 30 ans d’action humanitaire.

Tout commence en 1989, lorsque Pedro Opeka, dit "père Pedro" prend la tête du séminaire de Tananarive, à Madagascar. ce fils de maçon argentin découvre alors la pauvreté extrême de l’île de Madagascar touche 80% des habitants. La plupart de ses ouailles n’ont pas accès à l’eau courante, une santé décente et restent sans-abri. Selon la Banque mondiale, Madagascar est l’un des pays les plus pauvres au monde : 75 % de sa population vit avec moins de 1,90 dollar par jour.Dès 1990, le père Pedro s’attelle à la construction de logements en mettant à profit ses connaissances en maçonnerie et en mettant  à contribution les habitants des bidonvilles. Les futurs locataires vont eux-mêmes chercher les pierres pour leurs bâtiments, et apprennent les rudiments de la menuiserie, de la métallurgie, de l’électricité.

Plus de 2 500 logements sont bâtis, 8 villages sortent de terre. Suivent des aménagements en assainissement, puis la création d’hôpitaux, de maternités et de dispensaires.

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Enfin ne pas oublier le groupe des photographes qui a permis de voyager en très bonne compagnie , Ghislaine, Lionel, (Jean) Philippe, Aurore et Marie-Odile.

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